Toi tu te vantes d'avoir beaucoup de neurones, mais utilise les mieux s'il te plaît

J'attends un commentaire de Mélenchon sur ce sujet, mais suis prêt à parier qu'il n'en parlera pasJMarc a écrit :Très peu de reportages sur ce référendum impérialiste d'annexion organisé (et bidonné) par le Gouvernement vénézuélien (le modèle civilisationnel de Mélenchon).
Un projet grossier d'appropriation de terres riches en pétrole.
Imaginez la même par le Brésil de Bolsonaro...on en aurait entendu parler tous les jours pendant 2 ans.
botte pas en touche, si Chawax et Machete sont venus te chambrer c'est à cause de ta comparaison foireuse avec Brésil qui ferait ça avec Bolsonaro on en ferait des tonnes... en sous-entendant que c'est un complot qu'on en parle pas là parce que c'est Maduro (c'est vrai que lui et son pays sont largement bien vus dans les médias françaisJMarc a écrit :Arménie, Azerbaidjan, quelques posts très simples sans étaler la confiture. Où est le problème ?
Une grossière campagne poubelle pour faire pencher la balance au moment d'une élection importante, voilà, c'est tout ce que c'est. Quand on fait cela, on en est pas à des bulletins par correspondances bidonnés prés.Un scrutin serré
L'affaire intervient alors que la Géorgie doit décider, ce mardi, de la majorité au Congrès pour les prochaines années . Le Sénat est actuellement contrôlé par les républicains, qui détiennent 50 sièges contre 48 aux démocrates. Mais une victoire des deux candidats démocrates en lice dans cet Etat pourrait faire basculer la majorité et donner à Joe Biden les moyens de ses ambitions.
Les sondages sont extrêmement serrés. Les deux candidats démocrates, Raphael Warnock et Jon Ossoff, ont une légère avance dans les dernières enquêtes publiées avant le scrutin, mais cette avance se situe dans la marge d'erreur. Certains électeurs conservateurs, peu enclins à voter Trump à la présidentielle, pourraient aussi retourner dans le camp républicain à la faveur de cette élection.
Donc en gros Trump soupçonne à ce secrétaire d'Etat de Géorgie, un Etat traditionnellement mi-figue mi-raisin, de ne pas avoir son job voire même d'avoir bidonné les résultats.Dimanche, Donald Trump a reconnu qu'il avait bien parlé à Brad Raffensperger et que celui-ci avait été « incapable de répondre » à ses questions, sur les fraudes, la « destruction de bulletins de vote » ou le « vote d'électeurs décédés ». « Il n'en a aucune idée », a-t-il conclu.
Non.JMarc a écrit :des votes par correspondance par millions dépouillés en fonction de l'avancée des résultats
La gueule de la preuveJMarc a écrit :Il n'y a là aucune fraude, la preuve Trump n'a pas eu cet Etat qu'il pensait gagner haut la main.
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