Mais non Panaco, pas incendié : les désaccords peuvent être constructifs, et en l'occurrence tu argumentes souvent tes propos de manière intelligente :). En l'occurrence je vois ce que tu veux dire, mais je relèverais qu'on n'a pas eu affaire à la même opposition que contre Brest, par exemple. Les Brestois ont exercé un fort pressing sur nos premiers relanceurs, et on n'a jamais pu échapper à leur étreinte. Valenciennes, en revanche, a défendu très bas et a laissé beaucoup d'espaces à Guendouzi. Fatalement, cela nous donne l'impression d'avoir un peu plus de maîtrise, mais comme tu l'as souligné on n'a aucune créativité devant, et très peu de combinaisons (les cinq premières minutes ont été intéressantes, et après c'est parti en vrille). Je ne sais pas combien de tirs cadrés on réalise, mais c'est proche du néant. Bref, je dirais que c'est une meilleure facture en trompe l'œil.panaco a écrit :Je sens que je vais me faire incendié sur le forum . Pour moi ce match était de meilleure facture que ce que l'on a vu dernièrement.
Ce double-changement a modifié deux choses je pense. Premièrement, les coups de pied arrêtés ont été un peu mieux tirés. Bouanga a été nullissime dans cet exercice, et les trois corners successifs qu'il vendange (deux trop courts, et le troisième trop long et dehors) sont symptomatiques d'un joueur incapable de se remettre en question. Le tireur attitré de l'équipe qui rate sept ou huit CPA, c'est intolérable. Marveaux et Danic ont distribué de meilleurs corners sur la fin. En outre, avec Danic - qui a malheureusement perdu plusieurs ballons exploitables - on a quand même eu davantage de centres et de ballons lancés dans la surface. Marveaux a eu plus de difficultés, mais il a au moins eu le mérite de lancer quelques bons ballons sur Guendouzi.panaco a écrit :La rentrée de Marveaux et Danic n'a rien changé
C'est très, très maigre, j'en conviens, mais je pense qu'il faut le souligner car Bouanga a été en-dessous de tout ce soir, et ce serait injustifié de mettre Danic et Marveaux au même plan. Et pourtant j'ai beaucoup à dire sur Marveaux, dont l'entrée s'est traduite par la disparition de Claude-Maurice, replacé en milieu de terrain auquel on ne faisait plus appel puisqu'on passait systématiquement par Guendouzi ou les ailes.