
Yes, they can !!

Être grabataire (terme très exagéré le concernant d'ailleurs, il est juste vieux) ça n'empêche par le cerveau de fonctionner hein. Quant à lui attribuer le fait que le monde va moins bien depuis 4 ans ... C'est marrant mais plus on a des régimes autoritaires (avec des choses qui vont avec comme la xénophobie, le repli sur soi ou le climatoscepticisme), plus ça va malJMarc a écrit :Si ce n'est pas grave un président total grabataire, c'est que le poste n'est pas si important.
L'accord sur le.nucleaire iranien déchiré.JMarc a écrit : La principale prise de risque de Trump était sa proposition d'un Etat palestinien centré sur Gaza (Bande de Gaza quelque peu élargie) et les liaisons routières entre les territoires déjà gérés par une Autorité Palestinienne en Cisjordanie.
Là c'est le bordel complet depuis l'élection de Biden, .
C'est Trump qui a signé un accord avec les Talibans.JMarc a écrit :Départ précipité en Afghanistan, abandon du pouvoir installé à Kaboul = preuve de faiblesse manifeste.
Et la tentative de coup d’Etat en Bolivie il y a quelques jours. L’Equateur aussi qui a eu pas mal de problèmes de violence.merlu29 a écrit :Et tu as oublié l'Amérique du Sud ou ils ont choisi un autre taré en Argentine
Sans parler des narcotrafiquants ailleurs
On me l'a déjà sortie celle-là, mais ce retrait pathétique, mal organisé, a bien été réalisé 8 mois après l'élection par Biden.maxou56 a écrit :C'est Trump qui a signé un accord avec les Talibans.JMarc a écrit :Départ précipité en Afghanistan, abandon du pouvoir installé à Kaboul = preuve de faiblesse manifeste.
https://www.bbc.com/afrique/monde-58259138
Il prévoit un déplacement surprise lundipanchoa a écrit :Orban en visite à Moscou... Comme par hasard au premier jour de la présidence hongroise de l'UE...
Il a vu Zelensky juste avant. Tu aurais quand même pu le préciser.panchoa a écrit :Orban en visite à Moscou... Comme par hasard au premier jour de la présidence hongroise de l'UE...
Il reste de "nombreuses étapes à franchir" pour la paix en Ukraine estime Orban
Le premier ministre hongrois d'extrême droite Viktor Orban a déclaré vendredi qu'il y avait encore "de nombreuses étapes à franchir" pour "mettre fin à la guerre" en Ukraine et "instaurer la paix", après une rencontre avec Vladimir Poutine lors d'une visite controversée à Moscou.
"J'ai constaté que les positions sont très éloignées", a-t-il ajouté devant les journalistes, aux côtés de M. Poutine. "Mais pour le rétablissement du dialogue, le premier pas important a été fait aujourd'hui et je poursuivrai ce travail".
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