Quel temps chez vous?

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GoLorient
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C'est tard pour un Breton :mrgreen:
JMarc
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Normalement la vie d'un breton commence par une incubation dans des bourses à l'hydromel tel un têtard dans une mare. :ghd:
rodi
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merlu29 a écrit :Ben c'est normal que tu n'en aies pas souvenir puisque l'hôpital est le seul endroit qui avait encore de l'électricité...
non je ne crois pas qu'il y avait besoin de groupe électrogene pour tout l'hopital, j’habitais pres des halles de merville et le matin j'avais de l'électricité et c'est en sortant de chez moi que j'ai constaté les dégâts. Mais c'est vrai qu'il y avait eu beaucoup de coupure et que cela avait été assez long à revenir.

Sinon en Bretagne:
"Quand le goéland se gratte le gland, c’est qu’il ne fera pas beau temps. Quand il se gratte le cul c’est qu’il ne fera pas beau non plus !"
et s'il faut se mettre à l'abri:
"En rentrant au port, le rouge est à babord, le vert est à tribord, le verre de rouge est à ras bord"
et la sagesse bretonne:
"Tant que l’horizon n’est pas net, reste à la buvette !"
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merlu29
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Ben je suppose qu'en cas de panne de courant un groupe électrogène est indispensable dans un hôpital quand même, de nos jours la data est aussi obligée d'en avoir (un marché sur lequel Kohler s'est placé)
Enfin j'en sais rien, à ce moment là je buvais du ptit lait :bab:
Ha koulskoude ma teufe da soñjal an dud mañ,
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mickoule
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Chawax a écrit :J'ai des souvenirs apocalyptiques de la forêt de Toulfoën, des couloirs de 100 mètres de large où tous les arbres étaient au sol.
Moi en 1987, j'étais au collège à Ploemeur, comme Chawax une nuit compliquée avec le bruit du vent en permanence. Mon père lui était en mer au large de Brest, il m'a raconté qu'ils ont galéré comme rarement pour rentrer au port et s'amarrer, mon paternel s'étant même fracturé le poignet sur le pont du bateau lors d'une des tentatives d'accostage, il s'en était même pas rendu compte, la fracture n'a été diagnostiquée que le lendemain à Lorient, résultat plâtré à Bodélio pour 3 semaines.
:mrgreen:
Nous le lendemain matin, on avait sport au collège, avec en prime un footing autour de l'étang du Ter, je vous raconte pas la gueule du footing qui tenait plus du stage commando avec les arbres couchés par endroit ! :roll:
Au passage et avec le recul, l'inconscience quand même du professeur d'éducation physique de nous avoir envoyé là bas...

J'ai connu la tempête de 1999, bloqué dans la capitainerie du port de commerce de La Rochelle (avec l'anémomètre qui a cassé à 180km/h) et Xynthia en 2010 toujours à La Rochelle, j'ai une pensée ce soir pour ceux qui habitent en Bretagne en espérant que rien ne grave ne se produise, courage à vous :|
« La théorie, c'est quand on sait tout et que rien ne fonctionne. La pratique, c'est quand tout fonctionne et que personne ne sait pourquoi. Ici, nous avons réuni théorie et pratique : Rien ne fonctionne... et personne ne sait pourquoi ! ». (A.Einstein)
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razorback
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"Caca de mouette annonce la tempête, crotte de goéland annonce le beau temps.
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merlu29
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En te lisant mickoule, j'ai vu qu'un petrolier était sorti du port de commerce de Brest cet après midi et se retrouve en ce moment en pleine tempête, je me demande si c'est sérieux comme choix quand même, surtout qu'il file vers l'Angleterre. L'argent avant tout
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panchoa
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La leçon du TK Bremen (décembre 2011 à Erdeven) n'a donc pas été retenue...
C'est invraisemblable quand même que ces flibustiers ne puissent pas être bloqués à terre :card:
mickoule
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merlu29 a écrit :En te lisant mickoule, j'ai vu qu'un petrolier était sorti du port de commerce de Brest cet après midi et se retrouve en ce moment en pleine tempête, je me demande si c'est sérieux comme choix quand même, surtout qu'il file vers l'Angleterre. L'argent avant tout
S'il est sorti, c'est que la capitainerie du port de Brest lui a donné l'autorisation d'appareiller (pour info, la capitainerie d'un port a pouvoir de police maritime), le pilotage/lamanage et le remorquage l'ont guidé jusqu'à la bouée de Brest (procédure normale accostage/appareillage).
Après il faut savoir qu'un navire peut être plus en sécurité à la cape en cas de gros temps (d'où l'expression se mettre à la cape) avec moteur/machine en route toute plutôt qu'amarré à quai et prisonnier de ses amarres et du quai !
Ce pétrolier a du repartir vide de toute cargaison (à part ses combustibles MDO/IFO) puisque Brest est un port pétrolier (comme Lorient) de déchargement. Je pense que s'il avait encore eu de la cargaison en remport, la capitainerie lui aurait refuser la sortie du port.
Après les navires (de tous types) qui croisent au large de la Bretagne et du sud de l'Angleterre sont vraiment en ce moment dans une zone dangereuse en espérant qu'aucun d'entre eux subissent une avarie machine...
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bukster
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mickoule a écrit : en espérant qu'aucun d'entre eux subissent une avarie machine...
C'est effectivement ça le plus gros risque.
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merlu29
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Ben la capitainerie est malgré tout obligée par la pression financière des armateurs de le laisser partir, mais peut être as tu raison et que le mettre au mouillage en rade de Brest ou en baie de Douarnenez n'offrait pas plus de sécurité.
Les amarres du renaissance avaient lâché durant un coup de tabac l'an passé, il avait déhalé en pleine tempête, direct sur le gazier derrière :ssdent:

On espère qu'il n'y aura pas de mauvaise nouvelle demain quand même, un autre TK BREMEN ou autre, ça serait cataclysmique
Ca commence a bien taper là
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bukster
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Il y en a quelques-uns quand même...
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merlu29
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Des centaines même si tu remontes plus haut, mais pas tous chargés de pétrole et qui étaient encore à quai y'a quelques heures
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romainy
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Chawax
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mickoule a écrit :Après il faut savoir qu'un navire peut être plus en sécurité à la cape en cas de gros temps (d'où l'expression se mettre à la cape) avec moteur/machine en route toute plutôt qu'amarré à quai et prisonnier de ses amarres et du quai !
J'ai lu ça également cet après-midi je sais plus où. Ils expliquaient qu'avec un gros temps comme ça pour tenir un gros navire amarré il faut plusieurs remorqueurs. Et il y a plus de risque de casse à quai dans ces conditions plutôt qu'au large.

Sinon des trombes d'eau à Nantes. Et ça commence à souffler. Mais on est très loin des vents annoncés dans le Finistère heureusement.
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