gilles guégan 56 a écrit :tu as déjà vu des financiers mettre du fric dans une affaire sans attendre un retour sur investissement?
45m€ le maintien , ça fait cher en plus...
On a pas un budget de 45M€.
La question du retour sur investissement a déjà été abordée, si on peut faire du fric avec le FCL, ça se saurait et y aurait eu plus de clients pour le reprendre.
LF n'a pas besoin de fric....
Il est là par passion, ça se voit.
Espérons qu'il sera pas découragé par des propos comme les tiens heureusement minoritaires quand on voit l'affluence et l'ambiance au Moustoir samedi soir.
Le costume de chef des traders lui colle décidemment beaucoup à la peau. Pourtant, même quelqu'un comme lui, doué pour faire de l'argent et sans doute excellent manieur de chiffres, peut à un moment de sa vie avoir envie de s'accomplir à travers quelque chose, en utilisant son argent et ses compétences autrement. Il a certainement une fortune personnelle non négligeable et même si on dit souvent que l'argent appelle l'argent, il a forcément besoin de courir après quelque chose d'autre pour contribuer à son épanouissement. Bref... il est sportif dans l'âme et ce rôle lui plaît indiscutablement. On a eu déjà plus d'une année pour l'observer. Ce gars là est un passionné qui aime le FC Lorient et qui le sert admirablement. CG ne vous fera jamais des grandes phrases pour le dire et est de nature prudente, mais il ne s'y est pas trompé.
des éléments de réponse:
article du monde.fr
On y rappelle le salaire moyen d'un joueur de l1: 47000€ par mois (voir posts de discutions autour du salaire de Marama (un poster bien informé avait signalé un chiffre similaire), soit 2.5 fois plus dix ans plus tôt (15200€). (phénomène au moins européen
On rappelle aussi que les clubs, c'est 58% de droits d'image qui vont s'estomper faute de clientèle à la hauteur des sommes payées pours'arroger les droits d'image.
Le lien avec l'article (naif?) de O.F. sur la morale dans les affaires financières du football et de citer le salaire à lorient de certains joeurs payés en fixe + variable.
Moral et capitalisme, celà fait plus d'un siècle que le capitalisme s'est échappé de sa cage moral, religieuse, éthique et vit sa propre vie qui consiste à s'adapter au conditions dui marché.
Féry, en gestionnaire "innovant" anticipe la crise qui va toucher le monde du foot en liant les salaires des joeuurs aux résultats effectifs du club: j'y vois de l'intelligence et non de la morale;
la morale, c'est quand les supporters achèteront non pas un droit d'entrée mais une action à chaque match et seront les propriétaires, la morale c'est quand les salaires retrouveront un sens par apport aux classes populaires paradoxalement qui supportent les 1% les plus riches qui jouent devant eux; la moral , c'est de monter un modèle économique original en dehors du marché et de sa logique financière (les règles et les moeurs du football en 2010) effectivement en fonction de la performance réelle de la production des joueurs.
Si l'on pouvait m'épargner comme le dit schevkonkoné les cris de ceux qui ne supportent pas la moindre critique contre le club et sortent leur révolver à la moindre remarque allant contre la pensée unique que le club a toujours raison...Acceptez, je sais c'est dur pour certain la réalité si bien dite à propos des joueurs qui mouillent le maillot, la phrase que vous avait en son temps assené Darcheville,: "l'amour du maillot, c'est de la connerie"
l'article:
Jean-Pascal Gayant, professeur de sciences économiques, Université du Maine
A l'apogée de la progression des salaires des footballeurs de Ligue 1, en 2008, le salaire brut mensuel atteignait, en moyenne, 47 000 euros. Dix ans plus tôt, le salaire moyen était de 15 200 euros. En euros constants, cela représente un salaire moyen multiplié par 2,5. Quel phénomène économique réel peut justifier une telle progression : un accroissement des compétences et talents des joueurs ? Une très forte progression de la demande solvable ? Une conjonction des deux ?
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La mesure des compétences et talents est, par nature, délicate : les résultats des confrontations des équipes de Ligue 1 avec leurs concurrentes européennes dans les compétitions continentales permettent difficilement de mesurer la hiérarchie des talents tant la mobilité des joueurs est grande, et ce d'autant plus que cette mobilité est motivée par la perspective de gagner des salaires encore plus élevés dans les ligues voisines (le salaire net moyen mensuel en Espagne était de 85 000 euros contre 34 880 euros en France en 2009-2010). Les commentaires des spécialistes du jeu laissent plutôt entendre que le niveau de jeu du championnat de France ne s'est pas grandement amélioré et les résultats des clubs français dans les coupes européennes, ces dix dernières années, ont été très sensiblement inférieurs à ceux enregistrés dans les années 1990.
La demande solvable pour le "produit" Ligue 1 a-t-elle fortement progressé ? Pour répondre à cette question, il est opportun de s'intéresser, d'une part, aux affluences dans les stades, et d'autre part, et surtout, à la diffusion médiatique des rencontres. En matière d'affluence dans les stades, une véritable progression a été enregistrée, puisque la moyenne du nombre de spectateurs par rencontre est passée d'environ 15 000 à près de 22 000 (en 2006-2007 et 2007-2008). Il est à noter que cette embellie est fragile puisque, sur ses deux dernières saisons, la Ligue 1 a perdu près de 8 % de spectateurs (la moyenne de spectateurs par match fut de 20 088 en 2009-2010). La progression de l'affluence dans les stades ne permet donc pas, à elle seule, d'expliquer la considérable progression des salaires des joueurs.
LA FLAMBÉE DES DROITS TV
A l'évidence, et ce n'est pas une nouveauté, c'est la flambée des droits TV qui explique l'essentiel du phénomène. Les droits TV pour la Ligue 1 s'élèvent actuellement (dans la période 2008-2012) à 668 millions d'euros par an. Ils étaient de 122 millions d'euros en 1998 et de 33,5 millions d'euros en 1988. A l'heure de la fusion Canal Sat – TPS (2005), les spécialistes prévoyaient la baisse sensible des droits à partir de 2008. Nul n'ignorait que la mise aux enchères de ces droits entre les deux opérateurs avait conduit à une explosion artificielle de leur montant (de 375 millions d'euros pour la saison 2004-2005 à 600 millions d'euros par an pour la période 2005-2008). Ce fut donc une "grande victoire" pour la Ligue de football professionnel (LFP) (c'est-à-dire les clubs professionnels) que d'avoir fait progresser encore les droits lors du dernier appel d'offre. Peu importait que l'issue fût, aux yeux de nombreux observateurs, le résultat d'un habile, mais artificiel, "saucissonnage" de ceux-ci…
Le premier à avoir jeté l'éponge est donc Orange. La Ligue de football professionnel s'active pour reprendre à son compte la chaîne Orange Sport et ses 320 000 abonnés annoncés : l'activité débordante de son président, Frédéric Thiriez, ressemble à des manœuvres désespérées. Les principaux intéressés (les présidents des clubs, et en particulier les plus diffusés) ne parviennent plus à dissimuler leur inquiétude. Le business plan de la "chaîne de secours de la Ligue", révélé par le journal L'Equipe du 9 septembre 2010, prévoit le quadruplement des abonnés en deux ans et un pic à 2 millions d'abonnés en 2015-2016 ! Autant dire la genèse spontanée de centaines de milliers de nouveaux inconditionnels du football, solvables et prêts à tous les sacrifices pour visionner Arles-Avignon – Brest…
La bulle des droits TV semble sur le point d'exploser. Les clubs professionnels, dont les droits TV représentent en moyenne 58 % des recettes (en Ligue 1), s'en remettront-ils ? Rien n'est moins sûr dans le contexte d'endettement record des clubs : la dette totale des clubs de Ligue 1 et de Ligue 2 atteint, en 2009-2010, 180 millions d'euros (dont 140 millions d'euros pour les seuls clubs de Ligue 1) ! Il n'est plus absurde de penser que les salaires de footballeurs professionnels vont connaître un fort ajustement à la baisse dans les prochains mois. Pour une fois, les pourfendeurs de l'économie de marché devraient mollement critiquer le libre ajustement des prix, guidé par les seules forces du marché.
Jean-Pascal Gayant, professeur de sciences économiques, Université du Maine
Concernant l'évolution des salaires, ils ont subit une baisse de 5% depuis un an et devraient continuer sur cette voie (cf l'article de FF du jour : Les clubs français dans le rouge, l'année de tous les dangers).
Concernant le côté moral/intelligent de la politique salariale, toujours dans FF du jour, la fin de l'article concernant Gameiro et une éventuelle prolongation corrobore ta réflexion :
Histoire d'éviter l'embrassement, le président Féry planche sur un classique renouvellement de contrat : «Kevin a une vraie revalorisation à attendre de son contrat dans la mesure où il a un nouveau statut, et ce sont des choses dont nous discutons actuellement»
J'ai trouvé aussi l'angle "moral" choisi par l'article de OF posté sur maville assez peu pertinent.
Sauf si on trouve "moral" de ne pas dépenser l'argent du club à tort et à travers et d'avoir une gestion saine qui correspond aux ressources réelles du club à un temps T, et non pas à une anticipation sur d'éventuels gains à venir, ce qui se défend au regard de ce qui se pratique ailleurs...
Il est bien évidemment principalement question de gestion saine et appropriée.
"Moral" : OF nous prend pour des cons...
C'est les bisounours...
On se demandait comment les clubs allaient utiliser cet argent ?
On a eu la réponse...
Ils ont dégueulé des salaires pas possibles et engraissés des agents à profusion.
Y'en a qui se sont servis forcément...
Lorient a peut-être une longueur d'avance sur ce point.
Le gros risque, c'est que les gros clubs se gavent de plus en plus en droits TV au détriment des petits type Lorient.
On comprendra mieux dès lors à l'avenir pourquoi Rennes et Pinault ont engagé Le Lay...
Entre amis du CAC40...
A Lorient, on n'a pas de pétrole, et on n'a plus CG
C'est pas mal mais qu'en est-il des primes d'interessement des joueurs non convoqués de l'effectif ? Ils sont aussi rémunérés au rendement de l'équipe ou doivent se contenter d'une salaire de base nettement revu à la baisse (dixit "ils gagnent beaucoup moins ?)
Le football est un sport collectif. Alors comment calculer la performance individuelle des joueurs.
Un défenseur qui marque un but décisif, sera-t-il plus payé ?
Un attaquant qui sur corner sauve une balle de but sur la ligne, bénéficira-t-il d'un bonus ?
Je sais que les présidents sont confrontés à de gros soucis financiers, et cela ne fait que commencer, mais avec ce salaire différencié ne vont-ils pas tuer le jeu ?
AMHA, Il n'y pas de grandes différences entre ce système (fixe + part variable) et le système déjà bien connu des primes de match, si ce n'est que le salaire fixe est réduit.
Est-ce que les primes de matchs tuait le jeu ? Non, je ne crois pas.
renoir15 a écrit :Le football est un sport collectif. Alors comment calculer la performance individuelle des joueurs.
Un défenseur qui marque un but décisif, sera-t-il plus payé ?
Un attaquant qui sur corner sauve une balle de but sur la ligne, bénéficira-t-il d'un bonus ?
Je sais que les présidents sont confrontés à de gros soucis financiers, et cela ne fait que commencer, mais avec ce salaire différencié ne vont-ils pas tuer le jeu ?
Non je crois pas que le rôle du joueur est à voir avec sa rémunération, ce serait idiot comme tu le dis. En tout cas c'est quelque chose qui n'a jamais été évoqué.
renoir15 a écrit :Le football est un sport collectif. Alors comment calculer la performance individuelle des joueurs.
Si la part variable du salaire est basée sur le classement final de l'équipe, c'est la performance collective et pas la performance individuelle qui est prise en compte
La stratégie, nous on la connait, elle est très plaisante et Serge Aréguian la rappelle dans cette article : "Ce que nous perdons en billeterie avec des abonnements parmi les moins chers de France et de nombreuses réductions, nous espérons le récupérer en droits TV grâce à un public plus présent qui nous fait gagner des points à domicile donc des rangs au classement"
Après... ce qu'il ne rappelle pas c'est que certaines zones d'abonnement ont vu leurs prix augmenter mais ça aussi c'est logique. Prendre de l'argent à ceux disposés à le donner afin de proposer des prix sympa à ceux qui ne peuvent ou ne veulent pas. Renoncer à un pourcentage de la recette, il le dit clairement, c'est pas un sacrifice financier (dont nous patirions à travers la compétitivité de l'équipe) mais un calcul censé aboutir à un résultat gagnant-gagnant. Et puis peut-être que la recette au guichet se stabilise entre opérations promotionnelles et affluence supérieure...
Le principal est qu'on soit de toute façon tous enchantés de constater à chaque match ce nouvel engouement, qu'on soit de plus en plus nombreux réunis par le même centre d'intérêt, ce qui décuple l'efficacité des encouragements des fidèles... et stimule nos joueurs !
C'est vrai qu'ils ont quand meme une bonne politique de prix : contre le PSG via mon père abonné j'ai pu acheté 4 places pour 50 euros en tribune sud. Contre VA, via mon père abonné et moi étudiant j'ai pu me procurer quatre places pour le prix d'une.
Et y'a pas à dire, vaut mieux un stade plein avec moins de recettes qu'un stade vide.
Après tout n'est pas sans doute parfait, je ne connais pas tout les détails, mais le résultat est que le moustoir est capable d'accueillir 15000 personnes un soir d'octobre pluvieux pour recevoir Arles
C'était surprenant contre Arles plus de 15 000 spectateurs.
Mais il me semble qu'il y a quand même pas mal d'invités.
Un autre truc que je ne comprends décidément pas : sur le net, il reste parfois grosso modo moins de 500 places à vendre donc ça devrait faire 18 000 spectateurs. Au final, ce sera 16 à 17 000.
Si quelqu'un peut expliquer...
En tout cas, bravo pour cette politique tarifaire "adoucie".
Modifié en dernier par KBC le 11 nov. 2010, 10:43, modifié 1 fois.
A Lorient, on n'a pas de pétrole, et on n'a plus CG
KBC a écrit :C'était surprenant contre Arles plus de 15 000 spectateurs.
Mais il me semble qu'il y a quand même pas mal d'invités.
Justement moi je félicite ça. On sait qu'Arles ne va pas attirer les foules. Mieux vaut inviter du monde qui consommera un coca ou une saucisse à la mi temps, plutôt que de n'avoir que 8000 personnes par exemple. Et puis pour l'ambiance dans le stade, c'est tout bénef
Je suis complètement d'accord avec cette politique d'invitations.
Mais si certains raquent 33 Euros tandis que le voisin s'est fait invité...
Enfin, je serai toujours surpris par des gens qui mettent 48 Euros pour aller voir un match de foot au Moustoir.
Tant mieux si ce public (aisé j'espère) existe.
Modifié en dernier par KBC le 11 nov. 2010, 10:52, modifié 1 fois.
A Lorient, on n'a pas de pétrole, et on n'a plus CG
Elargir la fréquentation dope aussi les "recettes commerciales" au stade (buvette, boutique...
qui consommera un coca ou une saucisse à la mi temps
J'avais cru comprendre que la buvette était tenue par un prestataire externe au club (j'imagine que ce prestataire loue la buvette). Donc les recettes miam-miam et glou-glou vont dans la poche de ce prestataire, non ? Dans ce cas, l'affluence n'aurait pas une influence directe sur la trésorerie du club. A limite, de manière indirecte si le loyer de la buvette est indexé sur la fréquentation du stade. Et encore ... le loyer de la buvette, qui le perçoit : Le club, la ville, ... ?
wam a écrit :La stratégie, nous on la connait, elle est très plaisante et Serge Aréguian la rappelle dans cette article : "Ce que nous perdons en billeterie avec des abonnements parmi les moins chers de France et de nombreuses réductions, nous espérons le récupérer en droits TV grâce à un public plus présent qui nous fait gagner des points à domicile donc des rangs au classement"
Le classement des tribunes rapporte tant que ça ? J'en suis pas si sûr ... Puis ça me parait risqué de faire un pari là-dessus.
Faut espérer que les dirigeants savent ce qu'ils font.
Surtout que la cafétéria emploie désormais des salariés.
Il ne parle pas du classement des tribunes ! Il veut dire que plus de monde au stade, renforce l'ambiance, aide l'équipe à prendre plus de points et donc être mieux classé donc la prime de fin d'année est meilleure.
KBC a écrit :C'était surprenant contre Arles plus de 15 000 spectateurs.
Mais il me semble qu'il y a quand même pas mal d'invités.
Un autre truc que je ne comprends décidément pas : sur le net, il reste parfois grosso modo moins de 500 places à vendre donc ça devrait faire 18 000 spectateurs. Au final, ce sera 16 à 17 000.
Si quelqu'un peut expliquer...
.
Je pense que c'est du fait qu'il y est des places pour le match dans des bars et des Grand magasin et qui sont donc pas dispo en ligne.
Pour en revenir au "invité" si je me souviens bien il y a un taux maximum à ne pas dépasser pour le nombre d'invités
Les parcage fait 800 places il me semble. Si on ajoute les places où la visibilité est réduite et qui ne sont pas vendues et les places de Nord-Est où il y a l'écran, on doit tourner autour de 1500
Tylerdiap a écrit :Pas mal! 3€50 par match pour les etudiants c'est accrocheur ça!
Accrocheur mais inexacte.
Tarif le moins cher : 139€ en tribune nord
Réduction pour les étudiants : 25%
Nombre de match : 19
Tarif au match : 139x75%/19 = 5,49 €
KBC a écrit :Un autre truc que je ne comprends décidément pas : sur le net, il reste parfois grosso modo moins de 500 places à vendre donc ça devrait faire 18 000 spectateurs. Au final, ce sera 16 à 17 000.
Si quelqu'un peut expliquer...
Sujet déjà discuté maintes et maintes fois sur ce forum. La capacité théorique est de 18000 places mais la capacité pratique est plus faible (entre 16500 et 17000) à cause des places jamais vendus (mauvaises visibilité ou aménagement comme l'écran en tribune nord-est). Il faut aussi prendre en compte la tribune visiteur dans les calculs et celle-ci était très peu rempli pour Arles-Avignon.
C'est comme ça dans beaucoup de stades (surtout ceux qui ont été rénovés par petit bout).
Exemple à Brest :
- capacité annoncée par la presse, le club et la mairie : 16000
- capacité validée par la LFP : 15500
- affluence lors d'un match à guichet fermé : 14500 (pour Lorient avec une tribune visiteurs remplie au 3/4) et 15000 (pour Sainté)
Il n'y a pas que ça, le site de la billetterie bugge. Pour Alès il restait 10 places en vente dans tout le stade le mercredi soir, et finalement il y avait 15000 personnes, et plein de places vides en présidentielles hautes.
Et puis j'ai choisi une place et je me suis retrouvé à l'opposé complètement dans le coin...
Et en plus, le site n'est pas très sécurisé (pas de https).