Justement non :
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L'identité Bretonne de nos jours.
- nicolas
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Ce n'est qu'une proposition de Loi, ça n'engage à rien.
A l'approche des élections locales, des députés locaux font une proposition de loi sur le breton, ça fait les titres des journaux, ensuite ça n'aboutit à rien car le gouvernement et les députés du même parti rejettent la proposition de loi (bien sûr accompagné du parti d'opposition qui s'oppose) au nom du sens de l'Etat et de l'unité.
Un jeu d'attrapes-nigauds qui perdure depuis 1 siècle.
A l'approche des élections locales, des députés locaux font une proposition de loi sur le breton, ça fait les titres des journaux, ensuite ça n'aboutit à rien car le gouvernement et les députés du même parti rejettent la proposition de loi (bien sûr accompagné du parti d'opposition qui s'oppose) au nom du sens de l'Etat et de l'unité.
Un jeu d'attrapes-nigauds qui perdure depuis 1 siècle.
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- Nouveau Merlu
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"Football nantais : son identité est bretonne", un article très documenté et fondamental sur http://www.anamzer.com/?p=4446.
Il aborde notamment l'inadmissible séparation de la Loire-Atlantique du reste de la Bretagne :
"Lorsqu’en 1902 est créé le Comité de Bretagne de Football, le Stade Rennais et le FC Nantais participent au premier championnat de Bretagne de l’histoire, dans une unité que l’Etat français va déconstruire.
La première séparation du football breton par l’Etat français, suivant un ordre de réorganisation régionale française dictée par l’autorité allemande, intervient en 1942. La Fédération Française de Football (FFF) est même mise devant le fait accompli dès 1941.
Pour Eugène Bocqueho, secrétaire général de la Saint-Pierre de Nantes, meilleur club nantais de l’époque et dont naîtra le FC Nantes, « cette décision est un non-sens tant la Bretagne sud est facile d’accès. La Saint-Pierre, seul club nantais de division d’honneur, était assurée de faire de bonnes recettes avec les clubs bretons » ajoute t’il. « On s’est fort ému à Rennes de la décision qui sépare la Loire-Inférieure de la Bretagne » écrit le journaliste de ‘’L’Ouest Eclair’’ André Maussion dans ‘’Football’’, « A Nantes elle a soulevé d’unanimes et véhémentes protestations. »
Hervé Laudrin, directeur du CEP de Lorient, alors aussi en division d’honneur, qualifie cette décision de « malheureuse et qui, espérons-le, n’est pas définitive. » François Château, Maire de Rennes, plaide pour sa part que « la Bretagne est une réalité vivante. Vous ne la mutilerez pas sans la blesser. » La ‘’une’’ de ‘’L’Ouest Eclair’’ du 1er août 1941 est sans équivoque lors de la division civile : « Bretagne indivisible ».
Alors, en l’espace de quelques semaines se forme un ‘’Comité d’Amis de la Bretagne’’, lequel entraîne bientôt plus d’une centaine de conseils municipaux à travers toute la Bretagne à adopter un voeu d’unification renouvelé : La société civile bretonne refuse la séparation. Tout cela en vain. Celle du football ne durera qu’entre l’été 1942 et l’automne 1944.
Le FC Nantes, fondé en 1943, connaîtra ses premiers pas professionnels avec dix bretons dans son effectif. Il montera au plus haut niveau en 1963 avec sept joueurs bretons, y rejoignant le Stade Rennais qui en compte presque autant cette saison là. Pour le journaliste Pierre Lautrey, l’un des fondateurs du club professionnel nantais, Nantes v. Rennes au stade Malakoff de Nantes est la « première manche du derby breton » 1963-64 en Division 1.
En 1967, après deux titres de champion de France et une coupe de la Ligue, le FC Nantes est à son zénith. Mais alors que le régime politique français a changé en 1940, 1944 puis ensuite 1958, sa volonté de diviser est restée intacte. Toujours sans consulter la population bretonne au sujet de sa propre unité territoriale, l’Etat français va encore forcer la FFF à séparer la Loire-Atlantique du reste de la Bretagne.
Ainsi, en 1967, La FFF décrit elle-même la décision de l’Etat français comme un véritable coup de force : « Il est décidé de faire savoir à la direction des sports [du Ministère] que la Fédération est prête à tenir compte des mesures qui lui sont ainsi imposées et qu’en conséquence le Bureau Fédéral proposera au Conseil National de mai de voter ces changements importants dans la délimitation des Ligues régionales. » [...]
Pour Mickaël Landreau, ex-gardien du FC Nantes originaire du Pays de Retz, jouer en équipe de Bretagne est une occasion de « ne pas oublier d’où on vient. Ce qui me plait dans le discours [des organisateurs], c’est qu’il n’y a pas de forme de revendication, simplement le fait d’appartenir à une identité. Il y a une certaine fierté » déclarait-il lors de la rencontre Bretagne v. Mali du 28 mai 2013 à Carquefou / Kerc’hfaoù (Loire-Atlantique). Source : terristoires.info."
Il aborde notamment l'inadmissible séparation de la Loire-Atlantique du reste de la Bretagne :
"Lorsqu’en 1902 est créé le Comité de Bretagne de Football, le Stade Rennais et le FC Nantais participent au premier championnat de Bretagne de l’histoire, dans une unité que l’Etat français va déconstruire.
La première séparation du football breton par l’Etat français, suivant un ordre de réorganisation régionale française dictée par l’autorité allemande, intervient en 1942. La Fédération Française de Football (FFF) est même mise devant le fait accompli dès 1941.
Pour Eugène Bocqueho, secrétaire général de la Saint-Pierre de Nantes, meilleur club nantais de l’époque et dont naîtra le FC Nantes, « cette décision est un non-sens tant la Bretagne sud est facile d’accès. La Saint-Pierre, seul club nantais de division d’honneur, était assurée de faire de bonnes recettes avec les clubs bretons » ajoute t’il. « On s’est fort ému à Rennes de la décision qui sépare la Loire-Inférieure de la Bretagne » écrit le journaliste de ‘’L’Ouest Eclair’’ André Maussion dans ‘’Football’’, « A Nantes elle a soulevé d’unanimes et véhémentes protestations. »
Hervé Laudrin, directeur du CEP de Lorient, alors aussi en division d’honneur, qualifie cette décision de « malheureuse et qui, espérons-le, n’est pas définitive. » François Château, Maire de Rennes, plaide pour sa part que « la Bretagne est une réalité vivante. Vous ne la mutilerez pas sans la blesser. » La ‘’une’’ de ‘’L’Ouest Eclair’’ du 1er août 1941 est sans équivoque lors de la division civile : « Bretagne indivisible ».
Alors, en l’espace de quelques semaines se forme un ‘’Comité d’Amis de la Bretagne’’, lequel entraîne bientôt plus d’une centaine de conseils municipaux à travers toute la Bretagne à adopter un voeu d’unification renouvelé : La société civile bretonne refuse la séparation. Tout cela en vain. Celle du football ne durera qu’entre l’été 1942 et l’automne 1944.
Le FC Nantes, fondé en 1943, connaîtra ses premiers pas professionnels avec dix bretons dans son effectif. Il montera au plus haut niveau en 1963 avec sept joueurs bretons, y rejoignant le Stade Rennais qui en compte presque autant cette saison là. Pour le journaliste Pierre Lautrey, l’un des fondateurs du club professionnel nantais, Nantes v. Rennes au stade Malakoff de Nantes est la « première manche du derby breton » 1963-64 en Division 1.
En 1967, après deux titres de champion de France et une coupe de la Ligue, le FC Nantes est à son zénith. Mais alors que le régime politique français a changé en 1940, 1944 puis ensuite 1958, sa volonté de diviser est restée intacte. Toujours sans consulter la population bretonne au sujet de sa propre unité territoriale, l’Etat français va encore forcer la FFF à séparer la Loire-Atlantique du reste de la Bretagne.
Ainsi, en 1967, La FFF décrit elle-même la décision de l’Etat français comme un véritable coup de force : « Il est décidé de faire savoir à la direction des sports [du Ministère] que la Fédération est prête à tenir compte des mesures qui lui sont ainsi imposées et qu’en conséquence le Bureau Fédéral proposera au Conseil National de mai de voter ces changements importants dans la délimitation des Ligues régionales. » [...]
Pour Mickaël Landreau, ex-gardien du FC Nantes originaire du Pays de Retz, jouer en équipe de Bretagne est une occasion de « ne pas oublier d’où on vient. Ce qui me plait dans le discours [des organisateurs], c’est qu’il n’y a pas de forme de revendication, simplement le fait d’appartenir à une identité. Il y a une certaine fierté » déclarait-il lors de la rencontre Bretagne v. Mali du 28 mai 2013 à Carquefou / Kerc’hfaoù (Loire-Atlantique). Source : terristoires.info."
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- Marshall56
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Très intéressant et merci de nous faire partager cet article.
L'histoire récente nous a amené à ça malheureusement...cette déchirure...
Maintenant j'ai toujours pensé que le rattachement du 44 doit partir d'une volonté politique de leur part et pas l'inverse.
N'empêche aussi que quand je vais à Nantes je suis et je me sens en Bretagne et pas comment on appelle ça déjà...en Pays de la Loire !
L'histoire récente nous a amené à ça malheureusement...cette déchirure...
Maintenant j'ai toujours pensé que le rattachement du 44 doit partir d'une volonté politique de leur part et pas l'inverse.
N'empêche aussi que quand je vais à Nantes je suis et je me sens en Bretagne et pas comment on appelle ça déjà...en Pays de la Loire !
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- NiKro
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Il est clair qu'historiquement parlant, on ne peut pas nier que la Bretagne comprend 5 départements.
Contre vents et marées !
- Marshall56
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Complètement d'accord avec toi seulement si tu enlèves le "parlant" !
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Qu'il y ait une volonté politique de leur part n'a jamais rien changé puisque la force a toujours primé... Les situations sont légions où l'on spolie quelqu'un en lui demandant ensuite de payer la spoliation qu'on lui a fait subir, s'il veut changer son propre sort !
Ce qui est très pernicieux dans toutes ces manoeuvres politiques de division, c'est qu'elle ont toujours été présentées comme... administratives. Ces manoeuvres ont été répétées dix fois depuis 1914, par divers décrets, par un régime républicain de surcroit (sauf 1941 et un régime autoritaire), censé garantir l'équité ! La population bretonne n'a jamais eu son mot à dire.
Prenons le cas de la ville de Ancenis, dont le nom vient de "Ank Enez" (l'île d'Ank) et c'est dans cette commune que se trouve le nom en "ker" qui se trouve le plus à l'est de Bretagne : Kerguelin.
Un homme de 53 ans s’exprimait vis à vis de cette division sur le forum "Bretagne Passion" : « Ma famille côté père est originaire d'un petit village à 10 km d'Ancenis. Sans pour autant le clamer sur les toits (à l'époque ce n'était pas nécessaire), les gens de la génération de mon père se sont toujours dit Bretons et personne ne remettait cela en cause.
Le fait d'avoir à se "justifier" d'être breton de 44 est vraiment un phénomène nouveau qui a accompagné la montée en puissance des régions. En 1972, on se demandait par quel hasard la L.A. se retrouvait dans une région appelée PdL ("Maman pourquoi tu nous dis que nous sommes Bretons alors qu'à l’école on apprend que le département est dans la région PdL ?")
On trouvait ça encore tout juste "dommage". En 1982, on commençait à trouver ça sérieusement énervant d'avoir à se justifier du fait d'être Bretons. En 2009, on se sent nettement menacés dans notre identité. »
Ce qui est très pernicieux dans toutes ces manoeuvres politiques de division, c'est qu'elle ont toujours été présentées comme... administratives. Ces manoeuvres ont été répétées dix fois depuis 1914, par divers décrets, par un régime républicain de surcroit (sauf 1941 et un régime autoritaire), censé garantir l'équité ! La population bretonne n'a jamais eu son mot à dire.
Prenons le cas de la ville de Ancenis, dont le nom vient de "Ank Enez" (l'île d'Ank) et c'est dans cette commune que se trouve le nom en "ker" qui se trouve le plus à l'est de Bretagne : Kerguelin.
Un homme de 53 ans s’exprimait vis à vis de cette division sur le forum "Bretagne Passion" : « Ma famille côté père est originaire d'un petit village à 10 km d'Ancenis. Sans pour autant le clamer sur les toits (à l'époque ce n'était pas nécessaire), les gens de la génération de mon père se sont toujours dit Bretons et personne ne remettait cela en cause.
Le fait d'avoir à se "justifier" d'être breton de 44 est vraiment un phénomène nouveau qui a accompagné la montée en puissance des régions. En 1972, on se demandait par quel hasard la L.A. se retrouvait dans une région appelée PdL ("Maman pourquoi tu nous dis que nous sommes Bretons alors qu'à l’école on apprend que le département est dans la région PdL ?")
On trouvait ça encore tout juste "dommage". En 1982, on commençait à trouver ça sérieusement énervant d'avoir à se justifier du fait d'être Bretons. En 2009, on se sent nettement menacés dans notre identité. »
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- lolo_56
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Le sentiment d'être Breton est quand même assez contrasté sur le territoire de la Loire-Atlantique.
Certaines personnes trouvent cela intuitif, d'autres n'y voient aucun attachement.
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- Lorient plaisir du beau jeu -
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- Gourcuff, la légende -
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- Nouveau Merlu
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A partir du moment où la République française a organisé tout cela, il est évident que respecter ses propres valeurs "d'une et indivisibilité" ne s'appliquent pas en Bretagne. A notre époque de grand individualisme, certaines personnes y trouvent leur compte alors qu'elles n'aimeraient pas que l'on leur administre leur propre médecine. Il n'y a pas une once de valeur morale dans tout cela et c'est valable pour pleins d'autres "valeurs" actuelles.lolo_56 a écrit :Le sentiment d'être Breton est quand même assez contrasté sur le territoire de la Loire-Atlantique.
Certaines personnes trouvent cela intuitif, d'autres n'y voient aucun attachement.
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- Forgeron
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Que pensez vous de la rumeur/légende qui veut que les Bretons descendent des Basques (le plus vieux peuple d'Europe !!! véridique !!!
) ???
Il semble que plusieurs chaloupes parties à la pêche à la Baleine depuis Biarritz se soient perdues en mer et aient accostés en Bretagne il y a fort longtemps.
Trouvant cette nouvelle terre fort belle et agréable, les Basques "perdus" ont décidé de rester et de peupler ce qui deviendra : La Bretagne !!!
OK...... ======>

Il semble que plusieurs chaloupes parties à la pêche à la Baleine depuis Biarritz se soient perdues en mer et aient accostés en Bretagne il y a fort longtemps.
Trouvant cette nouvelle terre fort belle et agréable, les Basques "perdus" ont décidé de rester et de peupler ce qui deviendra : La Bretagne !!!
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Mensonges lors ventes de Romao & Lémina, affaiblissement du sportif pour se verser des dividendes, faire partir l'entraîneur qui a fait ce club : F€ry m'a dégoûté du foot et a cassé ma passion !! Bravo et merci à lui.
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- Nouveau Merlu
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- nicolas
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Effectivement la Loire-Atlantique est un gros département et attire des gens venant de Bretagne, Poitou et Pays-de-Loire donc c'est évident que les vendéens ne se sentent pas bretons par exemple. Mais tout de même quand on y regarde d'un peu plus près, tout y ressemble. Les noms de rues dans le centre de Nantes (Le Goffic, Anatole Le braz...) sont les mêmes qu'à Lorient...
Ce qui prime dans les contre rattachements, c'est le "c'est pas important", "ça va nous rapporter quoi" etc... mais petit à petit la situation prend racine et bientôt il y aura prescription.
Et puis le budget communication de la région Pays de la Loire fait son travail. Depuis pas mal de temps les plateaux de cantines des lycéens sont estampillés PdL., les trains sont peintutlurés en grosses lettres etc...
Mais globalement les gens, ne s'identifiant pas à la région PdL, se disent bretons quand on insiste un peu.
En tout cas, ce que j'ai remarqu", c'est que les gens qui se sont intéressés à la question sont systématiquement défenseur de la Loire atlantique bretonne.
Ce qui prime dans les contre rattachements, c'est le "c'est pas important", "ça va nous rapporter quoi" etc... mais petit à petit la situation prend racine et bientôt il y aura prescription.
Et puis le budget communication de la région Pays de la Loire fait son travail. Depuis pas mal de temps les plateaux de cantines des lycéens sont estampillés PdL., les trains sont peintutlurés en grosses lettres etc...
Mais globalement les gens, ne s'identifiant pas à la région PdL, se disent bretons quand on insiste un peu.
En tout cas, ce que j'ai remarqu", c'est que les gens qui se sont intéressés à la question sont systématiquement défenseur de la Loire atlantique bretonne.






- BZH44
- P’tit Breizh
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La région des Pays de la Loire est une aberration totale. D'ailleurs La Loire ne passe pas en Sarthe, ni en Mayenne. La Loire-Atlantique fait partie de la Bretagne, il faut s'intéresser à l'histoire, c'est important.
D'ailleurs le drapeau breton flotte au-dessus des grilles du Conseil Général 44. Quand je retourne à Lorient (actuellement on vit en Vendée pour le travail), je traverse le marais Breton, je passe devant les pancartes d'Arthon en retz, moutiers en Retz, la Bernerie en Retz. Même à Pornic, il y a aussi le nom de la ville en breton. Si tous les commerçants de Loire-Atlantique devaient enlever les insignes bretons de leur souvenir, c'est sûr qu'ils en vendraient moins.
Franchement, si Guérande n'est pas Bretonne, on se fout du monde...
Mais bon Jacques Auxiette et notre cher Ayrault ont décidé de brandir la bannière des Pays de la loire et tout ce qu'il font est insipide et n'a pour objectif que de les mettre en avant, il faut bien qu'ils marquent leur passage ces moi-je.
Bon quand à questionner les Nantais, c'est un autre problème. En effet, vu l'afflux de bobos parisiens qui sont venus s'installer sur Nantes et qui à part avoir fait monter les prix de l'immobilier ne connaissent rien à l'histoire, il est fort probable que le rattachement du 44 à la Bretagne est le dernier de leur souci.
Que ceux qui en doutent encore aillent faire un tour au château de ducs de bretagne à Nantes!
D'ailleurs le drapeau breton flotte au-dessus des grilles du Conseil Général 44. Quand je retourne à Lorient (actuellement on vit en Vendée pour le travail), je traverse le marais Breton, je passe devant les pancartes d'Arthon en retz, moutiers en Retz, la Bernerie en Retz. Même à Pornic, il y a aussi le nom de la ville en breton. Si tous les commerçants de Loire-Atlantique devaient enlever les insignes bretons de leur souvenir, c'est sûr qu'ils en vendraient moins.
Franchement, si Guérande n'est pas Bretonne, on se fout du monde...
Mais bon Jacques Auxiette et notre cher Ayrault ont décidé de brandir la bannière des Pays de la loire et tout ce qu'il font est insipide et n'a pour objectif que de les mettre en avant, il faut bien qu'ils marquent leur passage ces moi-je.
Bon quand à questionner les Nantais, c'est un autre problème. En effet, vu l'afflux de bobos parisiens qui sont venus s'installer sur Nantes et qui à part avoir fait monter les prix de l'immobilier ne connaissent rien à l'histoire, il est fort probable que le rattachement du 44 à la Bretagne est le dernier de leur souci.
Que ceux qui en doutent encore aillent faire un tour au château de ducs de bretagne à Nantes!
GOURCUFF:"La passion du jeu doit l'emporter.", "La recherche du résultat à tout prix est la mort du football."
- lemerluchon
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- Nouveau Merlu
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Beau voyage au coeur de l'absurdie parisienne que cette bouffonnerie, ils avaient moins d'humour - écrire quelque chose de drôle n'est pas donné à tout le monde - quand ils bouffaient du rat ces gens làlemerluchon a écrit :Je ne savais pas où le mettre celui-là...![]()
la Bretagne déchirée par la multiplication des derbys

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