panaco a écrit :Ce n'est pas la blessure du joueur qui fait arrêter le match, c'est la manière dont il l'a eu et c'est la LFP qui arrête le match.
Non je crois que c'est l'inverse : c'est la blessure qui a été mise en avant pour arrêter le match, en disant que le joueur ne pouvait reprendre, et c'est bien ça la nouveauté (que y'avait jamais eu avant, contrairement à ce que pense jérémarc56), en s'appuyant sur le règlement l'arbitre et la lfp ont choisi de ne pas reprendre le match, alors que les conditions générales au stade (pas d'autre débordement, supporterais bordelais restant calmes en tribune, pas d'animosité entre les joueurs/staffs des 2 équipes) permettaient bien de reprendre le match. Et ça aurait été le cas s'il n'y avait pas eu le cinéma de Buades, combien de fois les matches ont terminé malgré des échauffourées ? (et même avec des projectiles touchant leur cible, cf la finale de Conference League où le joueur de la Fiorentina saigne de la tête)
En attendant que jérémarc56 nous sorte un exemple en France d'un joueur (ou membre du staff) qui a eu une commotion cérébrale (vraiment, ou prétextée), à cause d'un supporter (physiquement ou par projectile), car c'est bien ça qui va servir de base pour une jurisprudence nouvelle. Si Payet se reprend un projectile à Lyon et prétend une commotion cérébrale, le match ne sera pas rejoué à huis clos, mais l'OM pourra demander à gagner le match sur tapis vert.
Exigeons le rétablissement du véritable nom de notre mascotte : PENAO! NON à MERLUX!